MERCI A VOUS, SAM, MASS ET MAITRESSE GAMELLE, DE VOUS ÊTRE INSCRIS !
Je sais, c'est relou et pas obligatoire pour laisser un com ... mais ça fait vraiment plaisir !

IMPORTANT : K RECRUTE ( mais paie queudal, hein ! ) ...
Si il y en a parmi vous qui se sentent l'âme "d'écrivains", qui ont une histoire à raconter ou qui veulent simplement se faire un petit kif... N'HÉSITEZ PAS, ENVOYEZ VOS HISTOIRES ( click sur le bouquin " contact " à gauche du blog ) ET JE LES PUBLIERAI !

mercredi 31 août 2011

#64 - Films d'horreur 2.0

Tout d'abord, je tiens à préciser que je suis conscient de mon absence de créativité cet été. Contrairement à Mademoiselle O. ( qui a été EXTRÊMEMENT productive depuis son retour du pays de Mac do ), j'ai été atteint d'une léthargie intellectuelle terrifiante...

Est-ce la chaleur ( pour ceux qui habitent sur Paris, vous comprendrez l'ironie de la chose, vu le temps merdique qu'on s'est tapé entre juillet et aout ) ?
Je ne sais pas, le fait est que j'ai été atteint du terrible syndrome de la feuille blanche.

Non, parce qu'il ne faut pas croire que j'ai entièrement oublié mon ordi dans un coin pendant 2 mois ! Maintes et maintes fois je me suis planté devant et j'ai essayé d'écrire... mais à chaque fois, au bout de 20 lignes ... le " BOF " mental.

Bref. Heureusement, il y a le brave Pedro, toujours présent pour m'envoyer une histoire de merde marrante à publier ( et qui me harcèle... mais me harcèle ... je crois pas que tu puisses te rendre compte à quel point il me harcèle pour que j'écrive une histoire ou que je poste sa bouse sa nouveauté ).
Cela dit... merci à lui, sinon y'aurait pas de nouveauté depuis longtemps ( et puis ses histoires sont quand même excellentes )

J'ai écrit l'histoire ci dessous au lendemain de mon retour de vacances...
____________________________________________


Cette nuit, confortablement installé dans la voiture sur le chemin du retour vers Paris, je me mis à réfléchir. Nous étions sur les hauteurs de Saint Raphaël ( autrement dit, dans de petites montagnes ) , et le départ s'étant fait de nuit, nous étions sur de petites ( toutes petites ) routes serpentant entre les arbres, dans l'obscurité ( hormis les phares ).

K : Putain ... c'est pas l'endroit où il faut tomber en panne, quoi...
J ( le conducteur ) : Gnon gnon, pas vraiment.
K : On dirait un début de mauvais film d'horreur ... 4 jeunes dans une bagnoles, la nuit, sur une route déserte au milieu de la montagne et de la forêt. Imagine que le moteur nous lache.
J : Rien a foutre, je bouge pas de la voiture.
K : Et si c'est un pneu qui crève ?
J : Pareil. Ou alors, je continue de rouler, mais sur l'essieu.
K : Tu me diras, vu l'ambiance dehors, l'idéal serait de s'arrêter en plein milieu de la surface plane d'un stade de foot, et chacun se met à un angle de la bagnole pour surveiller pendant que le dernier change la roue.
J : Voilà, à la limite, là, c'est bon.

Cette petite discussion me fit bien réfléchir à la crédibilité du film d'horreur et aux pourcentages de chances pour que les choses se produisent, surtout si elle s'additionnent, comme à la télé...

1 ) 4 jeunes. Probabilité que cela se réalise : 100%

Jusqu'ici ...  4 jeunes qui sont ensemble, à la limite, c'est pas comme si ça n'arrivait pas

2 ) Ils sont dans une voiture. 99,9999999999 %

Oui ... bon ... On va dire que c'est la nouvelle inconnue en plus qui enlève ce petit 0,0000000001% ... parce que 4 jeunes dans une voitures, ça se voit tous les jours.

3) Ils sont paumés au milieu de nulle part. 98%

Ça nous est plus ou moins tous arrivé de nous retrouver avec 3 potes en bagnole dans un coin paumé.

4) Oui, mais il fait NUIT, très nuit, genre 3 h du mat. 97%

Si tu habites hors d'une grande ville, c'est ton lot quotidien quand tu rentres de boite.

5) La jauge d'essence est dans le rouge. 90%

Bon, là, on chute un peu dans les pourcentages parce que, quand même, tout cumulé, ça commence à faire beaucoup ( surtout l'essence ) ... tu me diras c'était notre cas à nous la nuit dernière donc... C'est faisable.

6) Le GPS ne fonctionne plus / il n'y a pas de GPS. 89%

Avec l'Iphone, on a tous un GPS ... Et y en a bien un sur 4 qui a un Iphone ( ou autre smart phone d'ailleurs, je ne fais pas de pub )

7) Oui mais on capte paaaaaas. 80%

Bon, là, ça fait vraiment beaucoup, parce qu'en France, mine de rien, y a pas non plus énormément d'endroits où tu captes pas une petite buchette de réseau. Faut vraiment être dans un patelin de haute très haute montagne...

8) Pas de bol, la bagnole tombe en rade A CET ENDROIT PRECIS ! 60%

Oui parce que la voiture qui pète au moment où y a plus de téléphone, au milieu de la nuit etc etc ... là, on commence à se diriger gentiment vers le sur-réaliste.

9) Et si on faisait deux groupes de deux, un qui reste dans la voiture et un qui va chercher de l'essence ? 40%

Grosse chute du pourcentage de chance que cela se produise, à moins d'être vraiment inCONscient ( marcher dans le noir le long d'une route de montagne, c'est pas très futé ), ou d'être hyper pressé ( genre ta femme accouche ).

10) Au même moment, au même endroit ( désert, hein ! ) il y a un fou psychopathe !! 0,1%.

Ah oui, là, chute vertigineuse du pourcentage qui en a prit un coup sévère dans les lampions. Faut vraiment le vouloir pour tout cumuler, parce que, quand tu y réfléchis bien, le tueur psychopathe... il voit aussi bien que toi dans le noir ( c'est à dire très mal ). DONC, pour arriver à zigzaguer dans la forêt, tomber PILE sur ta route à l'endroit où tu es en panne... franchement, le mec il doit jouer à l'euro million dès qu'il peut.
Y'a autant de chances que ça arrive que toi qui crève de faim et tombe sur un poulet roti au milieu de nulle part, quoi.

11) Les mecs se font tous massacrer. 0,0001%

Là, c'est pareil... on parle quand même d'un gars tout seul qui hère dans la forêt et tombe sur une bande de jeunes. On va pas me faire croire qu'il est équipé d'un arsenal de désintégration massive alors qu'il fait sa rando au fond des bois. Mais c'est sur que si les 4 se sont séparés ... ils sont plus que 2, mais quand même ! A deux, bon, y en a bien un qui peut se démerder pour lui foutre une bouteille d'eau de deux litres dans la gueule, non ? ( mine de rien, ça fait rire, mais deux litres c'est deux kilos, deux kilos que l'autre se prend pleine balle dans le tarin ... )

12) Y en a pas un qui a été foutu d'envoyer un message d'urgence ( on a tous un mode urgence sur notre téléphone, même quand y a pas de réseau ) lorsque la bagnole est tombé en rade... Pourcentage : quasi nul

En même temps, si les mecs ont été assez con pour se séparer en laissant une gonzesse et le plus maigrichon du lot pour garder la voiture ( classique dans les films ), et que ces deux ânes battés, au lieu de s'enfermer à double tour dans la voiture avec le couteau suisse dans une main et le concombre du picnic " pour la route " dans l'autre, se sont assis dans la lumière des phares pour jouer aux cartes, forcément ... ça aide pas.

Alors je sais ce que tu vas me dire :

ET SI LE MEC LEUR AVAIT TENDU UNE EMBUSCADE ? MMMMMM ? Genre la bonne herse pour crever les pneus au milieu de la route, et lui, tapis dans l'ombre, la tronçonneuse et le fusil à pompe sur les genoux, prêts à l'emploi ?

Alors, c'est vrai, ça peut arriver... Mais bon, à ce moment là, y a pas vraiment d'histoire ( et niveau suspens c'est plutôt moyen ). Autant foutre un arbre en travers de la route et dézinguer la première bagnole venue au lance roquette !

Moralité : les films d'horreur, c'est du grand n'importe quoi.

K

ps : C'est marrant comme les choses me paraissent limpides aujourd'hui et que je plaisante sur cette situation ... parce que la nuit dernière, tandis que nous serpentions au milieu des ombres dans cette montagne forestière ... ce petit 0,00000000000001% de chances pour que les choses se produisent comme à la télé, mmmmmm, j'avoue qu'il m'a un petit peu fait peur !

samedi 20 août 2011

#63 - La fois où j’ai failli mourir ! By Pedro


Avant de lâcher en pâture cette nouvelle histoire à toi, lecteur avide de sensations fortes, et  ( surtout ) de nouveautés ( parce que, JE LE SAIS, ça fait un bail que je n'ai rien publié ), je tiens quand même à préciser quelques petits détails.
Comme tu le sais très certainement, mon bon coupain Pedro m'envoie régulièrement des histoires de son cru ( dieu merci, parce que pendant l'été j'ai été mou du genoux ). Cela dit, même si je les corrige, les publie ( et intervient sporadiquement ) je ne suis pas responsable de sa vantardise éhontée ni de ses exagérations fénoménales ses propos.

En gros : je n'ai aucune maitrise sur ses histoires ( qui, moi, me font beaucoup rire quand même, il faut le dire ).

C'est dit ... maintenant, place à Pedro !


Cette anecdote commence le même soir que le fameux « coup de la bière » dont nous savons tous maintenant la vérité, avouée de la bouche de la dulcinée de K elle-même qui était présente sur ce balcon et l'a vu boire cette putain de bière cul-sec!

Comme expliqué dans la véritable histoire du coup de la bière, je suis arrivé à cette soirée vers 22h, certes déjà légèrement éméché, donc comme tu le devines certainement 2h plus tard j'étais complètement pété... Alors je précise, le Pedro complètement pété est (presque) en pleine possession de ses moyens! Le grand et bon K m'a lui même avoué que s'il devait choisir un compagnon de beuverie pour durer jusqu'au bout de la nuit, il me choisirait car même ivre mort, je reste complètement conscient de mes actes et de mon état.

Donc sur le coup de minuit, je venais de finir un sandwich (référence à How I Met Your Mother la meilleure Sitcom qui soit !!), et titube de façon euphorique dans le salon jusqu’à ce qu’une intervention divine du mode aléatoire de l’Ipod me passe ma chanson préférée de Shaka Ponk, à savoir Watch Ha (si tu as le temps, écoutes un peu ce groupe qui donne très envie de se trémoussez pour les petites biatches, très envie de pogoter ) pour les métalleux mais aussi pour les amateurs de sandwichs qui aiment les bonnes phases psychédéliques. Putain si avec une pub pareille pour leur groupe, les membres ne me filent pas une photo dédicacée d’eux nus je vois pas ce qu’il faut faire…

Me laissant porter par la musique, je commence à danser de manière… cocasse dirons-nous… Et à ce moment, une des invitées de la soirée que je ne connaissais pas, vient se déhancher de façon langoureuse tout contre moi, prenant mes mains pour les déposer sur son fessier…

Il est temps de faire un petit aparté sur la demoiselle en question et surtout sur son copain présent aussi… N., Serbe, blonde platine, sosie de Barbie ( intervention de K : je précise que Pedro était à 12 grammes ), robe noire extrêmement moulante (mais genre plus moulante c’était sa peau quoi !), façon bustier (sans bretelles pour les incultes ) et qui s’arrête ras la salle de jeux, mais VRAIMENT ras la salle de jeux… A tel point, que lorsqu’il y a eu un entassement sur le canapé, le grand et bon K et plusieurs autres témoins ont vu sa lune ( intervention de K : la lune représentant les fesses, dans le langage courant, j'apporterai une précision d'ordre gynécologique en disant qu'il s'agissait en fait de la chatte sans culotte ni string...) lorsqu’elle s’est jetée ( en vol plané ) sur l’entassement ! Moi, prude et timide j’étais en dessous donc je ne peux corroborer leurs dires mais j’ai une confiance aveugle envers K et s’il le dit c’est qu’il l’a vu. ( intervention de K : c'est comme le coup de la bière, j'avais raison... )

Mais la personne la plus importante de cette histoire est D., copain de N. Comment te décrire, ami lecteur, cette masse de muscle me dépassant d’une tête… Le pire étant, qu’outre son mètre 95, et l’alcool aidant, il a enlevé son polo (dont les coutures craquaient tellement il était serré pour lui…), et là… Des muscles… Mais des muscles… genre pas le muscle rond et huilé avec quelques veines comme les bodybuilders ! Mais le muscle sec avec toutes les strilles du muscle apparentes ! Le genre de mec tu lui dis « on part en vacances au goulag en Sibérie » et bah le mec y kiffe sa mère ! Toi, tu veux sortir, t’enfiles 3 justaucorps, 2 pulls, ta parka, tes moonboots, ton bonnet, et une peau de bête ; lui il sort à poil dans la neige, trouve qu’il fait un peu chaud, tue un ours polaire adulte avec ses dents et le mange pour le petit déjeuner… Nous allons le nommer Grünt le Barbare pour le reste de l’histoire.

Les présentations faites, retournons à cette fameuse soirée, où la Barbie devenait quelque peu entreprenante envers ma personne. Voyant cela, Grünt se rapproche et se met derrière Barbie et la prends par la taille tout en dansant dans le but de l’attirer vers elle et qu’elle arrête de se frotter contre mon entrejambe. Il s’est pris un coup de coude de Barbie dans la tête suivi d’un « dégage toi tu me saoules ! » et elle se frotta de plus belle contre moi… Grünt l’attrape par les cheveux en sortant sa hache le bras et la sépare de moi, qui, fourbe et lâche que je suis, m’enfuie vers le balcon… ( intervention de K : Oui, et il faisait moins le malin que maintenant en racontant son histoire ! )

Après cette soirée, je ne pensais jamais revoir ce couple… Et pourtant, alors qu’un soir je dinais avec un ami, je reçois un appel de mon amie V. qui me dit être dans un bar juste à côté de là où je dine avec ce fameux couple… Mon pote est opé pour qu’on aille picoler un peu, ma meilleure amie me rejoint avant même qu’on rentre dans le bar et me dit qu’on va mettre le feu à la piste de danse ! On commence à boire un peu, puis Grünt et Barbie débarque avec 12 potes serbes… Tous comme Grünt… Sortis tout droit du goulag… avec une bouteille plastique Evian remplie de vodka tellement forte que quand j’ai trempé mes lèvres elles ont fondu faite maison.

Je descends avec ma meilleure amie sur la piste de danse et ma foi, il est vrai que nous avons plutôt mis le feu à celle-ci (la piste de danse, pas ma meilleure amie hein !). Grünt et Barbie dansaient juste à côté et tout d’un coup, Barbie repousse son barbare, attrape ma meilleure amie et la jette dans les bras de Grünt en lui disant : « bon ça suffit c’est à moi maintenant ! » et se frotte contre moi telle une loutre en chaleur de façon très sensuelle, jusqu’à même me rouler un patin sans que je m’y attente alors que Grünt était juste derrière moi dansant avec ma meilleure amie, qui m’a expliqué après vu que j’étais de dos, que quand il a vu ça, Grünt lui avait enfoncé sa langue dans la bouche dans le but de l’étouffer roulé aussi une grosse pelle.

Puis d’un coup, Barbie m’attrape par la main et m’emmène en courant dans les escaliers au 1er étage, me plaque contre un mur devant leur 12 potes goulagiens et me roule des patins… Bon j’avoue je l’ai pas trop trop repoussée durant les 30 premières secondes, et là du coin de l’œil, je vois Grünt en train de remonter les escaliers en courant, chope Barbie, la repousse, se met devant moi et me dit : « Toi ce soir je te tue ! ».

Je redescends donc sur la piste de danse ( intervention de K : je n'y était pas mais je l'imagine légèrement fiévreux à ce moment, l'ami Pedro ) pour retrouver ma meilleure amie et lui expliquer ce qui venait de se passer, dans le but de mettre les voiles car je trouvais que ça commençait à devenir un peu tendu pour moi… Ce à quoi elle m’a répondu que non il ne fallait pas que le clan du goulag nous nique notre vendredi soir et qu’elle avait encore envie de danser. Donc, je continue à danser avec elle, pensant être safe vu que Grünt et Barbie s’engueulaient au 1er étage.

On remet le feu à la piste de danse dansant face à face, et au bout de 10 minutes, je sens des mains qui se glissent sous ma chemise par derrière et qui m’enlacent, je tourne ma tête et je vois Barbie collée contre mon dos ! Et bien entendu, Grünt descend les escaliers en courant, choppe Barbie par la taille et essaye de la tirer à lui ! Mais la bougresse s’accrochait à mes pelletées poignées d’amour avec ses ongles ! (si bien que j’ai eu des sacrées marques durant une semaine quand même). Alors à ce moment, j’avais ma meilleure amie face à moi, Barbie agrippée derrière moi et Grünt derrière Barbie, ça faisait vraiment « la chenille qui redémarre » en plein milieu de la piste de danse. ( intervention de K : j'aurai tué pour voir ça … ).

Et paf ! Barbie recommence sont coup de coude arrière dans la tête de Grünt, se dégage de son emprise, pousse ma meilleure amie se met face à moi et essaye de m’embrasser, je recule ma tête et là se déplaçant à une vitesse proche de la vitesse lumière, Grünt se place derrière elle si bien que juste devant moi j’avais la tête de N., et juste au dessus de sa tête, le visage fulminant de Grünt, avec le regard « toi je vais te dépecer vivant avec un tournevis cruciforme ! »… Moi, pour prouver ma bonne foi, non seulement j’essayais de me dégager de l’enlacement de Barbie mais également en mettant les bras bien haut pour éviter tout contact ! Pendant ce temps durant lequel je fais semblant de danser en essayant de me dégager, Grünt mime un flingue avec sa main et me le pose sur le front…

Bref, je réussis à me sortir de ce gay-tapant guet-apens et rentre chez moi indemne. Trois jours plus tard, je reçois un message Fessebouc de Grünt me présentant ses plus plates excuses pour son comportement et celui de Barbie, le justifiant par une absorption trop importante de leur vodka locale…

En même temps, je les comprends cette vodka, eux ils la boivent, toi tu la mets dans le réservoir de ton scooter, tu monte à 160km/h !

Je pensais donc que cette histoire se terminait bien (pour moi en tout cas) et deux semaines après, un soir alors que je rentrais du taf, deux couloirs se rejoignaient. Je me préparais à me diriger vers la sortie et du coin de l’œil je vois une masse qui se dirige vers moi à grande vitesse, je me tourne et reconnais notre ami Grünt le Barbare qui court vers moi, me fixant de ses yeux injectés de sang ! Je me raidis et me bloque tel un lapin dans les feux d’une voiture sur une départementale prêt au combat… Eh bien non ! Au dernier moment, il a bifurqué pour prendre une autre ligne… Mon sphincter s’est relâché et j’ai fait une descente d’organes mais je suis encore en vie !

Donc, ami lecteur, si un jour une fille beaucoup trop belle ( intervention de K : relire mon introduction à cette folle épopée ) avec un barbare qui lui sert d’ombre (oui il faisait le gay guet quand elle allait au toilette quand même…), prends la fuite et ne regrette rien !

Pedro
 

blogger templates | Make Money Online